DEPUIS 2008, CERTAINS « NOSTALGIQUES » REVENDIQUENT L’OUVERTURE

 Au lieu d’assumer ouvertement leur position, ils prennent prétexte du « droit de passage », qui selon eux découlerait de la Loi Littoral. Ils sont rejoints par des personnes revendiquant des idées politiques.

C’est ainsi qu’ils accusent les riverains de « violer le Loi » (rien que ça).

Pourtant, la réalité juridique est beaucoup plus complexe, et aucun élément légal ne vient étayer cette affirmation péremptoire !

POUR NOTRE PART NOUS NE VOULONS PLUS DU SQUAT SAUVAGE (ni des pratiques naturistes et assimilées).

ET NOUS EN AVONS RAS LE BOL DE SERVIR DE BOUC EMISSAIRE A CHAQUE ELECTION !

Le « droit de passage » repose en réalité sur une Loi récente de 2006 aux contours juridiques flous et encore très discutés.

Ce texte a encore été modifié en 2010 et devant les difficultés croissantes, il sera sans doute encore modifié.

En effet, cela résulte d’un amendement pris sans aucune étude préalable, comme malheureusement c’est de plus en plus le cas.

Cependant, personne ne conteste l’existence de cette Loi ! Et certainement pas les riverains qui sont légalistes.

Quoi qu’il en soit, la fermeture repose sur un arrêté de police, de la responsabilité du Maire, et affiché en bonne et due forme : il n’a JAMAIS été attaqué. Et pour cause, il s’impose à l’évidence, comme les précédents. Il doit donc être respecté, c’est la loi.

Rappelons aussi que cette situation remonte, en droit, au moins à 2004 (mais les panneaux d’interdiction figurent sur des photos de presse de 2000, soit bien avant la Loi de 2006), ce qui ne change donc rien dans ce cas précis.

Des amalgames et raisonnements présentant une réalité « arrangée » ont été mis en avant pour couvrir certains intérêts particuliers peu avouables (comme profiter des lieux comme d’une plage sauvage, principalement naturiste (le lieu fût même un temps référencé sur internet avant que cela soit découvert !), et ce sans aucune limite ni aucun respect).

Telle était en effet la pratique devenue courante depuis la fin des années 1990 jusqu’en 2007 (pudiquement tout le monde parlait des « habitués ») !

Mais fermant systématiquement la porte à nos multiples tentatives de dialogue, ils ont préféré adopter une attitude délibérément agressive.

Après l’agression de 2007, les modérés quittent les lieux discrètement (qu’ils en soient remerciés), mais les plus « fanatiques » (au sens littéral) s’organisent. On entend parler à demi-mot de « méthodes corses », comme si la situation avait un quelconque rapport.

Et forcément cela a dérapé et après les intimidations et les menaces, les publications sur internet se sont débridées surtout sur des « forums ».

Mais les choses sont allé trop loin.

Certains blogs ont aini dû être fermés suite à ces diffamations et des poursuites judiciaires sont toujours en cours.

On se demandera aussi comment le panneau d’interdiction avait atterri au Lac en 2008… par l’opération du Saint-Esprit sans doute !

> LES MENSONGES DES AMIS DU QUAI DE CHAVOIRE